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- Apprendre à mieux se connaître
- Découvrir les autres sous différentes facettes
Pas d’aménagement particulier
Une feuille comprenant plusieurs cases.
Sur chaque case, une caractéristique est décrite : a déjà pris l’avion, possède un chien, adore courir, est enfant unique, a déjà vécu sur un autre continent,…
- Chaque participant devra récolter un certain nombre de signatures différentes, annoncé par l’animateur
- Le nombre maximum de signatures est : le nombre de participants moins un (car on ne signe pas sur sa propre feuille)
- Il faut une signature (le prénom et non un paraphe) par case
- La personne qui signe sur la feuille d’un autre le fait parce qu’elle correspond à la caractéristique
- Au signal de l’animateur, les participants commencent leur récolte, se déplacent, échangent leurs feuilles et leurs signatures. Les participants peuvent s’adresser à un autre parce qu’ils savent qu’il correspond à l’indication donnée. S’ils ne se connaissent pas bien ils demandent à leur interlocuteur de choisir une case sur laquelle il pourra signer.
- Lorsqu’un participant a atteint le nombre de signatures demandé, il crie « Bingo ». Il peut poursuivre l’activité en signant sur les feuilles des autres
- L’animateur veille à ce que chacun ait bien le nombre de signatures demandé
- Il est également intéressant qu’il observe de quelles façons les participants s’y sont pris et qu’il le leur renvoie. Ont-ils signé sur la feuille d’un autre en échange d’une signature reçue ou se sont-ils empressés de récolter au plus vite des signatures ? PROLONGEMENT
- Pris par le jeu, les participants s’empressent souvent de récolter les signatures sans demander d’explication complémentaire. Quand tout le monde a son nombre de signature, l’animateur encourage chacun à lire posément sa feuille et à demander de plus amples informations à celui ou ceux qu’il souhaite.
Quentin: On a pu se disperser dans la classe et parler avec tout le monde. On a pu s’échanger des coordonnées de jeux.
Zeravan : On courrait partout pour avoir des signatures et c’était rigolo !
« Bingo » est une activité idéale pour instaurer la cohésion en grand groupe : plusieurs classes, réunions de parents, fêtes de famille, animations de jeunes,… Il suffit que chaque participant ait un bic et un « Bingo ». Les indications décrites dans les cases seront en lien avec le vécu des participants.
Dans le reportage ci-dessous, vous découvrirez 80 nouveaux élèves du premier degré de l’Ilon-Saint-Jacques de Namur (qui ont entre douze et quatorze ans) qui se lancent dans la récolte de signatures, en compagnie de leurs professeurs qui jouent le jeu également. En très peu de temps, la glace est rompue !
{youtube}OV-Ol00ritc{/youtube}
Cette activité a l'avantage de pouvoir également être menée avec un très grand nombre de participants
Cette activité est idéale pour amener de la cohésion au sein d'un grand groupe de participants: première rencontre entre les nouveaux élèves de l'école et les anciens, accueil par l'école d'une section ou de classes venues de l'extérieur.
Dans ce cas, c'est l'animateur qui décide des 8 questions qui figureront sur la cocotte. Les cocottes sont préparées à l'avance.
Coralie : les autres expliquent les raisons pour lesquelles ils se mettent en colère. C’est super parce que j’adore écouter les autres et les comprendre.
Yorick : On a pu se déplacer dans la classe, parler aux autres élèves et découvrir ce qu’ils préfèrent manger, ce qu’ils aiment faire au quotidien.
Quentin : On a pu poser des questions qu’on avait choisies, tout découvrir sur les autres (habits, hobbies, l’endroit où ils habitent). On peut se disperser dans la classe et discuter entre nous.
Giusseppe (élève néerlandophone) : Ce jeu m’a aidé à connaître les autres et à me faire des amis.
Zeravan : On pouvait se déplacer et poser des questions et on avait le temps d’écouter ce que les autres répondaient.
Cette activité a l'avantage de pouvoir également être menée avec un très grand nombre de participants
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- Travailler la cohésion du groupe
- Parler de soi
- Découvrir l’autre
- Répartir en duos ou trios aléatoires
Les participants sont assis en cercle
• Cartes d’un jeu des cartes coupées en deux
• Les supports « gira-coli »proposés :
Bilderlotto, Cherche les différences, C’est qui ? C’est quoi ?, La journée de petit ours,…
• L’animateur prépare le nombre de duos (ou de trios) de supports dont il aura besoin pour que chaque participant reçoive une pièce
• Il distribue un support à chaque participant
• L’animateur donne les consignes suivantes :
o Lorsque la musique se fait entendre (ou les claquements de mains), les participants doivent se déplacer à l’intérieur du cercle et échanger le plus fréquemment possible, leur support avec le support des participants qu’ils croisent
o Lorsque la musique (ou les claquements de mains) s’arrête, chaque participant doit trouver le participant qui possède le support correspondant au sien. Les duos (ou trios) ainsi constitués se tiennent immobiles face à face, ou vont s’asseoir l’un à côté de l’autre
o L’animateur annonce un sujet de conversation. Les duos (ou trios) disposeront d’une minute pour converser.
o Lorsque la musique (ou les claquements de mains) reprend, les participants recommencent à circuler librement et à échanger rapidement leurs supports
o Lorsque la musique (ou les claquements de mains) s’arrête, les participants cherchent leur partenaire et s’apprêtent à entamer une nouvelle conversation dont le thème sera annoncé par l’animateur
• Les sujets des conversations sont à décider par l’animateur, en fonction de l’âge des participants, de la période de l’année, du thème qu’il souhaite travailler:
o En début d’année, avec des élèves qui ne se connaissent pas : mon prénom + mon ancienne école, où j’habite, comment je me rends à l’école, ce que j’ai fait pendant mes vacances, ma matière préférée,…
o En cours d’année scolaire, avant les vacances de décembre : ce que je ferai durant le congé, comment nous fêtons les réveillons, les cadeaux que j’espère recevoir,…
o Avec un groupe d’adulte en formation : Le moment de la journée (professionnelle) que je préfère, un beau souvenir professionnel, une difficulté (professionnelle) que j’ai rencontrée, un autre métier que j’aurais aimé exercer, comment je me vois dans dix ans,…
Au terme de l’activité, l’animateur demande si chacun a eu l’occasion de s’exprimer sur le temps imparti. Il arrive que certains participants monopolisent le temps de parole ou que d’autres n’aient pas été inspirés par le sujet proposé.
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Jennifer : Même ceux que je croyais trop « pèteux »pour faire ce genre de jeu ne le sont pas du tout. Nous avons tous ri de bon cœur !
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Coralie : On croit que certains ont un mauvais fond et on se rend compte qu’ils sont chouettes.
Julien : Cela montre ce que l’on espère le plus dans la vie et si c’était vrai, ce serait génial ! J’ai découvert que certains voulaient aller autre part que moi.
Zeravan : Il y avait de la bonne humeur car les endroits où les autres voulaient nous emmener étaient magnifiques
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Céleste : Je trouvais ça méga gênant de m’asseoir sur les genoux de personnes que je ne connaissais pas. Mais trop marrant de voir les garçons qui rougissaient quand je m’asseyais sur leurs genoux. J’ai pas découvert de super trucs mais c’est clair que ça a fait des liens.
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Particulièrement avec les plus jeunes, l'animateur précise qu'il faut être précis dans sa description (date et lieu précis) pour avoir une chance d’être unique.
Loïc : J’ai appris les expériences vécues par les autres. Par exemple, que Céleste a fait une pub pour Mac Do
Julien : Il y en a qui sont partis en Grèce, en Suède. C’était vraiment relax et on pouvait se poser des questions pour mieux découvrir la personnalité de chacun.
Benjamin : Quand on se parle dans la cour, on pense pas à se poser ces questions-là .
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Thibaut : C’est un jeu où on apprend beaucoup sur les autres. En plus, il est cool et marrant !
Après avoir mené les différentes activités ci-dessus, les élèves de 4P Vente de l'Institut Ilon-Saint-Jacques - qui ne se connaissaient pas une semaine plus tôt - se sont prêtés à l'exercice. La consigne étant: Mettez-vous d'accord et organisez-vous pour tenter de prendre le moins de place possible sur la photo.
En vente à l’Université de Paix, conçu par Christelle Lacour (formatrice à l’Université de Paix), « Belfedar » est un jeu coopératif de société, à jouer en famille, entre amis, à l’école ou lors d’animation extrascolaire.
L'Université de Paix organise le 7 octobre 2013 la formation: "Comment animer le jeu coopératif "Belfedar"?"
"Belfedar" permet d’apprendre à se découvrir et à coopérer en s’amusant. Il initie également, par le jeu, au vocabulaire nécessaire à la gestion positive des conflits.
Sortez au plus vite de la forteresse de la maléfique sorcière Belfedar pour rejoindre le Royaume merveilleux d’Uménia. Pour cela, aucune porte du château ne peut rester close sinon… un sortilège sera jeté aux joueurs qui resteront emprisonnés à tout jamais… Parviendrez-vous à ouvrir chaque porte avant qu’il ne soit trop tard ? Etes-vous prêts à relever les 250 défis rigolos ?
Nombre de joueurs : 4 à 8 A partir de: 10 ans Durée : 30 à 60 minutes
{youtube}YELNEWnnmfk{/youtube}
Najim: J’ai bien aimé le jeu. Il amuse un peu tout le monde et on se sent en confiance. On va dire qu’il crée une belle ambiance. J’ai vraiment bien aimé jouer à ce jeu. D’ailleurs ma cousine va l’acheter parce que je lui en ai parlé. Anthony: L’objectif du jeu est de finir la plateforme tous ensemble en traversant des défis complètement loufoques. Pour ma part, je ne suis pas très « jeu de société » mais les autres avaient vraiment l’air de bien s’amuser. Une ambiance conviviale était au rendez-vous, dans la paix et la bonne humeur. L’épreuve que j’ai préférée est celle où il fallait prendre un objet dans la pièce et le secouer ou le frapper. En tout cas, si vous voulez un jeu de société où on rigole, prenez Belfedar, vous ne serez pas déçus. Eva: C’était très drôle ! L’ambiance était super ! C’est avec un jeu comme celui-là qu’on voit que le ridicule ne tue pas. Les épreuves de mimes étaient marrantes. Allison: Ce jeu est extraordinaire. Moi, je l’aime bien parce qu’on s’amuse, qu’on fait des bêtises et qu’on rigole comme des fous. Il est idéal pour quand on s’ennuie ou qu’on ne se sent pas bien. Grâce aux épreuves, aux mimes, on arrive à se connaître de plus en plus et à se dévoiler aux autres. Jérémy: J’ai trouvé le jeu Belfedar très amusant. Il m’a bien fait rire, avec les épreuves où il faut mimer, bouger, chanter et danser. Grâce au jeu, les participants se lâchent. Il fait oublier la timidité et tout le monde rigole. J’ai bien aimé l’épreuve où on doit marquer sur un papier ce qu’on pense du voisin, les épreuves de groupe. Je recommande ce jeu à tous ceux et celles qui veulent passer un bon moment avec leurs amis, leur famille. Rire garanti.
Jonathan : J’ai appris plein de trucs sur les autres : leur famille, où ils habitent, combien d’enfants ils étaient, ce qui leur fait peur, ce qu’ils aiment dans la vie.
Yorick : On a pu découvrir les talents de dessinateurs de certaines personnes. J’ai découvert mes propres talents. Au cours, on ne peut pas parler, on doit écouter le professeur. Là, on peut parler, dessiner.
Nouamane : On a découvert les talents cachés de certains dessinateurs
- Répartir en duos aléatoires
Les participants sont assis en cercle
Les cartes d'un jeu de cartes coupées en deux.
Les cartes en duo sont utilisées pour constituer de manière aléatoire des couples de participants.
• L’animateur prépare le nombre de duos de cartes nécessaire pour que chaque participant en reçoive une
• Il les mélange avant d’en distribuer une par participant
• A son signal, chaque participant devra trouver le participant qui possède la moitié de carte correspondant à la sienne
• Les couples ainsi constitués s’asseyent l’un à côté de l’autre pour mener une activité à deux.
Réalisé à partir du jeu "Puzzle duo - Couleurs" - Editions Djeco
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- Répartir en duos aléatoires
Les participants sont assis en cercle
Les cartes du jeu « Deux à deux» découpées et plastifiées.
Les pièces de puzzle en duo sont utilisées pour constituer de manière aléatoire des couples de participants.
• L’animateur prépare le nombre de duos de pièces de puzzle nécessaires pour que chaque participant en reçoive une
• Il les mélange avant d’en distribuer une par participant
• A son signal, chaque participant devra trouver le participant qui possède la pièce de puzzle s'emboitant à la sienne. L'animateur signale qu'il faut se baser sur les harmonies de couleurs.
• Les couples ainsi constitués s’asseyent l’un à côté de l’autre pour mener une activité à deux.
Réalisé à partir de l'ouvrage "Que cachent ces taches?" - Stéphane Frattini - Editions Milan
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- Répartir en duos aléatoires
Les participants sont assis en cercle
Les cartes du jeu « Mais que cachent ces taches?» découpées et plastifiées.
Les cartes en duo sont utilisées pour constituer de manière aléatoire des couples de participants.
• L’animateur prépare le nombre de duos de cartes nécessaires pour que chaque participant en reçoive une
• Il les mélange avant d’en distribuer une par participant
• A son signal, chaque participant devra trouver le participant qui possède la carte correspondante à la sienne (l'une étant un détail de l'agrandissement représenté sur l'autre).
• Les couples ainsi constitués s’asseyent l’un à côté de l’autre pour mener une activité à deux.
Cathy Van Dorslaer
Formatrice en gestion positive des conflits, auprès d’enfants, d’adolescents et d’adultes
par GSM
+32 496 80 50 56
par mail
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